Parce que oui, je vous tends « un Valentin »!
Le 14 février, une journée pour parler d'amour, l'échanger, le respirer; s'arrêter sur cette belle complicité qui nous ramène à notre humain...
Quand les hommes vivront d'amour
Il n'y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours ...
(pour continuer, Clique!)
En guise de Valentin! Parce que oui, je vous tends « un Valentin »! En guise de Valentin, je vous apporte deux documents se rapportant à la chanson la plus célèbre de notre Québec d'amour et son auteur.
De plus, Raymond Lévesque, à sa manière, a fait vivre au Québec, une « tempête hérouxvilloise » en 1995 en suggérant d'abolir le droit de vote aux immigrants parce que « ce pays n'est pas encore le leur! ».
L'amour a bien des façons de s'exprimer!
Le premier document est un diaporama dont j'ai choisi photos, parfois commentées, et musique « originale ». Ça dure le temps d'une chanson! 
Laquelle pensez-vous?
Le deuxième document est un extrait d'un DVD sur la carrière de Raymond. J'ai pris les dix dernières minutes de cette super musicographie. Je l'ai transféré en format MPEG pour une « consommation universelle ». Acceptez aussi ces dix minutes d'amour des gens et du pays!
Si encore « le coeur vous en dit », Chez Maya , on vous la rechante!
Et mille mercis aux lecteurs assidus de ce blogue, un quasi monologue et dont vous empêchez qu'il ne devienne qu'un soliloque. 
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2 Commentaires:
Pour que les hommes vivent d'amour! voilà ce qui est bien choisi en ce Valentin pour te caractériser Jacques.
Avec beaucoup de ténacité tu persistes à nous nourrir, à nous tenir hors du rayon de l'indifférence première cause de la mort à petit feu.
Ta ténacité à repérer des aliments commestibles à nos appétits d'oisillons, un geste d'amour qui est bien loin d'un selfish soliloque; ton habileté à nous apprêter ces mets avec humour et originalité, un geste de tendresse qui déclenchera un jour sa réplique.
Le duvet temps me sert de cocon et justifie à mes yeux mi-clos ma paresseuse dormance.
Ne désespère pas Jacques tes discrets coups de bec auront raison de ma coquille, mon arche, et voletant au-dessus de la vaste mer je partirai sous tes ailerons tutélaires à la recherche de ce rameau d'olivier qui fut pour l'ancien monde alors nouveau un guide qui nous a conduit jusqu'à Raymond Lévesque et ses Valentin toujours quêteurs de l'essentiel.
Voilà que j'écris en parabole. Réjean doit grincer. Ma demeure presque raccolée, je te reviens bientôt. en attndant je tiens à te dire combien j'apprécie, mon capitaine, ta navigaton sur "la mer des mots.
Florian, tes mots approbateurs, ceux-là et d'autres précédents m'enflent... la tête. Je ne fais qu'extrovertir des influences reçues. J'aime saisir, sauter sur les occasions de penser. La Valentin en est une. Vois un peu cette vieille chose: http://hdelboy.club.fr/emblemes.htm Ça nous mène un peu plus loin que le rose des coeurs du jour.
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