Jugement voilé.
La loi, fruit d'un parlement légitime, est première. Elle est précisée dans son application par des règlements (les modi operandi). La vie bien concrète interprète la lettre (modus vivendi). Un conflit en découlant, passe devant le juge qui fait jurisprudence... 
C'est ainsi que la roue démocratique vit la justice.
Le DGE Marc Mayrand abrège ce processus, souffrant d'insécurité professionnelle. C'est à un juge, après une plainte, de prendre position.
Situation loufoque qui a ses désagréments raisonnables.
D'un clique sur vous, M'sieur Mayrand, faites-nous sourire.
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1 Commentaire:
Pour ou contre Mayrand?
Se tient-il debout ou à plat-ventre? Moi avec ce que je connais, je dis Bravo Mayrand! Envers et contre tous il fait son job correctement. Ce sont nos élus qui dormaient aux gaz. S'il fermait les yeux et cédait devant les groupes de pression il donnerait à nos élus une absolution sans confession. Allez-y, prenez vos décisions au gré des vents électoraux, mesurez à la légère l'état de santé du peuple, appliquez les remèdes les moins coûteux et nous nous retrouverons bientôt devant un corps en état de convulsion ne sachant où donner de la tête.
En l'occurrence, que Monsieur Mayrand fonctionne comme un fonctionnaire-robot appliquant robotement le programme qu'on lui a copié, c'est tout ce qu'il faut pour enclencher le débat public qui semble bien parti avec la commission Bouchard Taylor.
La raison principale de la démocratie c'est d'éviter les lynchages, lynchage des personnes, celles des idées, des décisions et des actions collectives.
Orchestré par la mobilité des médias la question des accommodements raisonnables risque de mettre en marche la machine à lyncher (tout le monde est projeté de tribord à babord jusqu'à ce que le navire chavire sans qu'aucun gouvernail n'arrive à le redresser.
M. Mayrand tient le gouvernail, même s'il est pour l'instant sur le pilote automatique. Je suis rassuré. Mes nuances auront plus de chance d'être entendues.
Florian
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