samedi, mars 27, 2010

Je hais le creuset de Mahomet.

Je hais le creuset de Mahomet. Et j'en remets!

Je hais l'Islam ai-je déjà crié. - -Depuis j'ai lu sur des sujets connexes. J'ai tenté de jouer à l'intellectuel en distinguant Islam et Islamisme. Je n'entre pas dans le cadre de ce distingo. On fait pourtant de gros efforts pour faire avaler une couleuvre.

Voici deux exemples où je ne vois pas de différence dans les horreurs.

a) Le Mali, pays musulman et la loi du plus fort, du plus dangereux, du plus despote; l'islam tient dans l'ignorance, même désinforme.
b) La censure islamique va jusqu'à tuer. Tuer honore le dieu politique Allah.

a)       Agnès Gruda, envoyée spéciale La Presse (27 mars 2010) amène le lecteur au Mali musulman.
(...)
Vêtu d'un boubou blanc brodé d'or, le journaliste Sambi Touré explique ce que signifie le devoir d'obéissance qui, selon la tradition malienne, soumet la femme à l'autorité de son mari.

«Le matin, la femme donne de l'eau à son mari, l'aide à se laver, blanchit ses habits, le nourrit. Et si le monsieur a des envies insatiables, elle fait l'amour avec lui», énumère-t-il.

Nous sommes installés dans une rue de terre battue de Bamako, la capitale malienne. Derrière nous, une maison portant l'affiche du quotidien Info Matin. Devant, l'incessant flot de vendeurs ambulants qui exhibent leurs marchandises.

Sambi Touré tâte des vêtements d'enfant, négocie le prix d'un sac de fruits de jujubier. Et il enchaîne: «Chez nous, les femmes sont élevées pour obéir à leur mari. Celles qui ne le sont pas deviennent des gourgandines.»

Le directeur d'Info Matin sait que ses propos ne peuvent que choquer la toubab - Blanche - que je suis. Et il semble prendre un malin plaisir à me provoquer (...)

(suite de l'article) Lecture faite, le lecteur peut se demander si le Mali, pays en souffrance religieuse, souffre-t-il de l'Islam ou de l'Islamisme?

b)____Tuer pour faire sourire Allah.
"Ma vie rebelle" par Ayaan Hirsi Ali, Claude-Christine Farny, Hannah Pascal
2006

La dédicace du livre.
À Abeh, Ma, Ayeyo (Grand-Mère), Mahad. En mémoire d'Haweya, ma soeur bien-aimée. Et aux centaines de million de musulmanes qui sont obligées de se soumettre.

INTRODUCTION (extrait)

Un matin de novembre 2004, Theo Van Gogh se leva pour aller travailler dans sa maison de production, à Amsterdam. Il enfourcha son vieux vélo noir et partit sur la grande rue. Debout sous un porche, un Marocain l'attendait, armé d'un pistolet et de deux couteaux.

Comme Theo descendait la Linnaeusstraat, Muhammad Bouyeri s'approcha, sortit son arme et tira plusieurs balles sur lui. Theo tomba de son vélo, se releva, voulut traverser la rue, tituba et s'écroula. Bouyeri le suivit. Theo lui dit :
«On pourrait peut-être discuter?» mais Bouyeri tira à nouveau, quatre fois. Puis, avec l'un de ses couteaux, il lui trancha la gorge. Ensuite, il posa une lettre de cinq pages sur sa poitrine et enfonça son second couteau pour la maintenir
en place.

La lettre m'était adressée.

Deux mois plus tôt, Theo et moi avions réalisé un court métrage. Nous l'avions intitulé Submission, Part 1 : j'avais l'intention de tourner un jour la deuxième partie. (Theo m'avait prévenue qu'il n'y travaillerait que si j'acceptais d'y mettre un peu d'humour !) Dans la première partie, des femmes musulmanes passaient d'une soumission totale à Dieu à un dialogue avec Lui sur le ton du défi. Elles priaient, mais, au lieu de garder les yeux baissés, elles regardaient Allah en face, et elles avaient les mots du Coran tatoués sur le corps. Elles lui disaient franchement que si la soumission à Sa loi était source de tant de malheurs, et s'Il persistait à garder le silence, elles cesseraient de se soumettre. Il y avait une femme flagellée pour adultère; une autre mariée à un homme qu'elle détestait; une troisième régulièrement battue par son mari; une jeune fille rejetée par son père après avoir été violée par son oncle. Tous ces mauvais traitements trouvaient leur justification dans les mots du Coran tatoués sur la peau des victimes. Ces quatre femmes représentaient les centaines de milliers de musulmanes maltraitées dans le monde.

Nous savions, Theo et moi, qu'il était dangereux de réaliser un tel film. Mais Theo était courageux - il avait l'étoffe d'un guerrier, aussi curieux que cela puisse paraître. Il était aussi très hollandais, et aucune nation au monde n'est aussi attachée à la liberté d'expression que les Pays-Bas. Lorsqu'on lui proposa de ne pas mettre son nom au générique pour des raisons de sécurité, il se mit en colère. Il m'avait dit un jour : « Si je ne peux pas signer mes propres films de mon nom dans ce pays, alors, la Hollande n'est plus la Hollande, et je ne suis pas moi."

Il existe de plus en plus d'ouvrages référencés sur les déviances de l'Islam. Déviances dit-on... Pourtant, il n'y a qu'un creuset musulman, de l'Islam, de l'Islamisme, du mahométisme, c'est celui de Mahomet. Combien d'imams ont déchiré leur qamis en condamnant Muhammad Bouyeri? Combien d'imams ont tenter de protéger Ayaan Hirsi Ali? Combien d'Imam ont tenté de civiliser le Coran?

Je hais le creuset de Mahomet.

Faites-vous mal à votre tour. Demandez à http://www.youtube.com
de vous montrer « enfants battus Coran » « enfants talibés » « ESCLAVAGE MUSULMAN ACTUEL AU NOM DU CORAN » « Theo Van Gogh français » Vous trouverez bien d'autres sources de souffrance vous-même à vous en vider le coeur.

Ânonnez trois fois après moi « Je hais le creuset de Mahomet. » sinon, le fouet!


Sites à fréquenter pour mal dormir:
- - - - - - http://www.rawa.org/gallery.html
- - - - - - - - - - - http://www.ishr.org/

2 Commentaires:

dandissimo a ?crit...

l'islam est multiple et ne se résume pas à la seul dont tu as de lui..c'est dommage.

Quidam duFleuve a ?crit...

dandissimo,

J'apprécie ton commentaire. Il vaut bien le mien.

Je tenterai toujours, lorsque je le pourrai, de me rapprocher des hommes et de m'éloigner de toute religion.

Les savoirs scientifiques n'ont jamais entretenus de guerre. L'ignorance, les croyances semblent être chargées de contrôler la polulation humaine...