Merci! de m'encourager.
Ce blogue vague, divague, en plein bonheur béat, sachant que vous êtes là. Mercredi le 21 mars, vers les dix-huit heures, il cumulait sa millième visite.
Internet est maintenant entré dans nos êtres et nos us. Un acte très quotidien pour moi. Un for intérieur redéfini... La « toile planétaire » m'a ajouté des neurones, des connections, des réflexions. Le WEB, puisqu'il faut l'appeler par son sigle, me renouvelle l'intellect. L'événement humanitaire était bien orchestré pour mon cas. L'ordinateur m'était familier; outil scolaire, outil de gestion. Quelques années avant « mes grandes vacances », le WEB arrive, révolutionne le monde de la communication. J'y entre avec curiosité et ratpidement une passion de rongeur m'énergise. Je ratisse partout.
Dans mes premiers travaux personnels réalisés à l'aide de cette « grande bibliothèque » j'ai rédigé une étude taxonomique qui m'a permis de remporter le concours « Trouver le nom de ma future commission scolaire regroupée ». De « Le Gardeur », nous sommes passés à « Des Affluents ». Pour beaucoup, ce fut grâce à une gratuité d'un service sur Internet. « Le Grand Dictionnaire Terminologique » offrait, en ce temps-là, quelques dizaines de consultations gratuites avant d'obliger à l'abonnement. Ma recommandation justifiait les termes, décrivait la géographie historique, le bassin hydrographique. Presque tout ça était déjà sur Internet.
L'évolution du moyen continuant, il y eut un soir, il y eut un matin, Jean m'a poussé au blogue, m'a fait écrire trois phrases de « chat ». J'apprécie le blogue comme canal d'expression. J'en suis là. Je reçois des encouragements à écrire mon soliloque... parce qu'on me lit. Fier plaisir!
Oui, on m'encourage! J'ai reçu des bons mots de lecteurs de la Montérégie, de Montréal, de Terrebonne. Ils se reconnaîtront; vous les devinerez. Pour la survie de l'espèce, il n'est pas bon que l'homme reste seul. Je profite donc de ce billet qui se veut principalement une emphase du mot MERCI de m'encourager, MERCI de me lire, pour vous dire que je quitterai bientôt la chaleur de mon clavier pour aller m'épivarder ailleurs. Un retour prévu dans la deuxième semaine de mai devrait vous signaler un « appel à tous » pour agrémenter « La~~Mer~~des~~Mots ». En mai, je devrais donc poursuivre, exécuter, 'exuter'.
Au départ de ce blogue, je m'étais donné un rôle de capitaine. Actuellement, je me sens davantage le conducteur du train de Félix...
Oh ! dans l'train pour Sainte-AdèleY avait rien qu'un passager
C'était encore le conducteur
Imaginez pour voyager
Si c'est pas la vraie p'tite douleur
...
Le train du Nord
Au bord d'un lac, des p'tites maisons
Ça vire en rond...
Le train du Nord
C'est comme la mort
Quand y a personne à bord
...
Paraîtrait qu'on l'a vu filer
Dans l'firmament la nuit passée.
3 Commentaires:
Bon voyage dans ce lieu intersidéral mystérieux où Internet n'est pas encore accessible... Tes multidivagations vont nous manquer!
Bon vent de printemps, ami de port centronics (juste pour toi, le centronics!). Internet est partout... Un dieu! En déplacement dépaysant, je déclotche de mon quotidien et ça va viré dd'ssour! Avoir fait un seul voyage avec Jean-Guy Bris. éclaire ma phrase... Le temps, c'est du voyagement disait saint Paul. Pour l'avoir suivi sur un long bout de sa route, en Méditerranée et jusqu'à Rome, je ne serais pas surpris d'entendre parlé de lui aux Baléares, le stop de mes cinq semaines. Contrairement à Ti-Paul, rien d'éprouvant pour mes tarses ne m'attend.
Je n'ai connu de la Floride qu'un aéroport. Il y faisait cent, degrés et humidité. Sur Floride, j'ai cliquué "Supprimer". La Floride m'a dit "é tu sûr?" J'ai cliqué "Yes and so".
Beaucoup de Québécois et d'Adéquistes commencent à délaisser l'Oncle Sam pour Don Quichotte. Je m'en vais faire un constat! Ce sera la première fois que dans un voyage, je prévois un temps de lecture. J'apporte "Les Bienfaisantes" (Lucie l'a lu) et "La littérature française pour les Nuls".
Si je prends des notes, je devrais ploguer de belles phrases sur le blogue, dès mon retour.
Des bateaux j'en ai pris beaucoup,
Mais le seul qui ait tenu le coup,
Qui n'ai jamais viré de bord,
Mais viré de bord,
Naviguait en père peinard
Sur la grand' mare des canards,
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord.
De ti-Georges Brrr.
Puisqu'il est question de 'voyage', je ferai une de mes rares sorties à Repentigny jeudi soir le 29 mars à l'occasion du vernissage de l'exposition de Raôul Duguay, Touttt est au bouttt. Bienvenue à tous ceux et celles qui n'ont pas encore pris le large!
Post a Comment