Marie-Claude, Sophie, Raphaële, Diane...
Comme l'homme, la femme pense à bêtes. C'est savoureux de lire ça. Des Nouvelles dans un Quotidien. Faut l'écrire!
Saisir l'occasion de prendre quelques bribes de l'imagination des hommes quand ils avaient la poésie d'inventer des dieux...
Diane inspire même nos « cheminées ».... Heure avancée ou pas. La faim tenaillante, ce qu'on devait la prier la belle Diane de rêve avant d'affronter la forêt giboyeuse du temps, comme aujourd'hui, où les dieux naissaient d'un besoin des hommes.
L'humanité est chasseuse. Une question de survie de l'espèce. (L'individu est secondaire. Ouf! (J'apprécierais d'être questionné sur ce Ouf!)) Là-dessus, nous sommes au niveau de notre beau chat domestique. Regardez-le, en plein plaisir de saisir à griffes, l'oiseau, la pelote de laine... -- La chasseresse, la 30-06 bien mirée, doigt sur gachette... Belotte et re-belotte! -- Le mââle resté maison en prendra pour son/des rhums!, devant un tel succès d'abattage.
L'homme chasse parce qu'il est le pourvoyeur de la famille? Une vaticânerie. L'homme est un paresseux qui ne veut pas faire la vaisselle, l'époussetage, la balayeuse et laver ses draps qu'il a "crêpés". Le plaisir est ailleurs et il en chasse les raisons pour s'éloigner du domestique.
En Abitibi, comme exemple... L'orignâl attend le mâle de Montryâââl! On se souviendra du film illustrant une partie de chasse exclusivement masculine où la thérapie de groupe prend le dessus sur l'activité de chasse...
Nos voisines intimes partagent une philosophie de la mort-vie-plaisir. Faut nourrir, quoi? Nos plaisirs? Notre famille? Notre égalité? Nos accommodements?
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