Soleil, in situ.
Gentil toujours, il me demandait par courriel « Comment allez-vous à Repentigny? ».
À Repen, tout va comme le soleil qui dérange ce que la nuit a mis tant de silence à installer. Les étoiles les plus petites sont les premières à partir à l'anglaise. La noirceur filoche vers son destin. La terre se penche et laisse passer un peu de clarté; se penche encore au point qu'on perçoit le soleil. En ces jours d'automne, le thermomètre est frileux. Il quitte rapidement son humeur négatif. Aujourd'hui, le soleil me dérange parce qu'il entre maintenant dans la chambre; parce qu'il n'est qu'illusion. Je sais qu'il ne réchauffera rien. Il brille et snobe Repen. J'ai l'idée ailleurs.
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