vendredi, octobre 10, 2008

De profundis,

jaillit le pétrole. Le prix du baril, tel un geyser, a craché à près de 150$/baril, en juillet, faisant trembler gouvernement, rente, VUS, fournaise à l'huile et jusqu'à ma tondeuse à gazon. Même, j'ai rêvé me chercher un mouton aimant follement le fétuque rouge...

Je m'y suis vu mendiant. Tendre un gobelet pour mon essence... Être là, m'en faire pour mon essence d'être... capable de couper dans le vert.

Encore que mon dernier denier, mon huard... fluctuat nec mergitur.

Le pétrole approche la valeur qu'il avait en octobre 2007, sous les 80 huard$. Combien de maux-mots québécois empruntés au catéchisme nous aurions évités sans les $péculateur$?

Je vous le dis, le monde sont drôle(s...Décidez.).

Pour vous changer les idées, le
De profundis d'Oscar Wilde, ça vous dit...

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