Un deuxième clin d'oeil à tous y inclus Réjean (jth)
Bonsoir le monde,
Quelques mots pour vous dire que je pense à vous tous même si je confesse ne visiter ce blogue que de façon sporadique.
Ayant repris le boulot depuis le 10 octobre, 3 jours/semaine, j'avoue avoir moins de temps pour correspondre avec mes "vieux" amis d'adolescence.
Eh oui, après 2 ans de retraite, je n'ai pu résister à l'offre d'un organisme d'aide à l'emploi de Joliette, Perspectives Nouvelles. Remplaçant une conseillère en congé maladie, j'accompagne des adultes âgés de 40 ans ou plus, en situation de transitition de carrière, à se définir un nouveau projet d'emploi.
Quelques mots aussi pour réagir aux commentaires du prince Réjean quant à ma présumée négligence à répondre à son courriel du 17 août dernier.
Son récent grief s'avérait le suivant:
"Cher Jacques T., le 17 août dernier, je t'adressais un courriel. Sans réponse depuis. Comment veux-tu que j'apprécie tes "belles paroles", paroles, paroles, paroles qui s'envolent sur le blogue actuel?
En amour comme en amitié, je déteste les "allers simples". Comme pour la SNCF... je préfère les "allers-retours". Plus sympas. Ciao! Réjean, prince de France"
En effet, ce gentil message du 17 août était libellé comme suit:
"Bonjour cher Jacques, Comment vas-tu et comment va la belle Louise? Une semaine pile que je suis revenu dans mes pénates gauloises. Le décalage horaire est résorbé et toutes les tâches domestiques et administratives après ces 35 jours d'absence ont été accomplies.
Oui, mon Général! L'Airbus A-310 qui m'a arraché avec regret du sol québécois le 9 août dernier m'a fait retrouver avec grand plaisir l'aéroport Lyon/Saint-Exupéry, la France et mes habitudes indéniables. Je suis possédé, quoi! Tant mieux!
Merci encore pour ces quelques heures passées avec toi dans ton domaine... with my brother/father... Il nous a manqué une nuit et une journée... Peu importe, l'ivresse était au rendez-vous, n'est-ce pas? Même pas le temps de faire connaissance avec Roland...
Quant au méchoui, je ne serai pas original. C'était extra ... trop court, évidemment. Au plaisir de te lire. Amicales pensées à toi, à Louise et aux autres fils. Réjean, le Fierminois"
Or, dès le lendemain, soit le 18 août, je lui répondais par ces mots non moins gentils:
"Vieille branche, bonjour! Surtout interprète mes paroles comme un hommage à ta grandeur... d'âme et de coeur. Je comprends que tu as précédé de quelques heures les nouvelles tracasseries de la sûreté aéroportuaire...
Ici, tout le monde va bien, incluant Roland. Je séjourne davantage à Matha qu'à Sainte-Thérèse, profitant du "temps" exceptionnel pour réaliser des travaux de rénovation à notre résidence de "brousse": porte extérieure à changer, revêtement à installer, etc..
À part ça, des fleurs de tilleul sèchent dans mon garage et les premières pommes se font mangées (tout en pensant à toi et à ton appétence pour ce fruit que tu prises particulièrement).
Au fait, en jetant un coup d'oeil furtif du côté de l'étang, et aussi, pour ramasser mes idées, je réalise que la table déplacée sous les bouleaux où nous avons piqueniqué en compagnie de ton "dear small brother" n'a pas bougé depuis ce temps. Histoire d'allonger ce moment de bonheur, il faut croire!!!
Ce n'est qu'un au revoir, Jacques Le Terrien"
Il est probable que ma réponse se soit perdue dans ce vaste monde virtuel! Cher Prince, j'en suis encore ébaubi, interloqué, pantois et fort abasourdi!!!
Par ailleurs, je dois faire amende honorable auprès de Florian quant à une certaine promesse de partie de tennis à Saint-Eustache. Ce projet est toujours dans ma mire, soit un jeudi, soit un vendredi à convenir!!!
Amicalement et à bientôt,
Jacques T
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