Pourquoi ne pas dire "Merci m'sieu l'Abbé"!
Si nous sommes dans la joie, gardons-nous de porter nos pensées au-delà du présent. Ti-Coune Horace
Nous sommes VENDREDI, fin pm. Que de fois, durant le déclin de ma vie, je songe aux vendredis du passé. >> Que le temps du moment était bon. Un carré de chocolat. Toi, nous avions travaillé. Le repos était mérité. Et lundi, nous savions avoir un job. Gâtés. – Gâté j'étais. Rien n'a changé...La vie m'est généreuse. Très. Je ne suis pas né dans un de ces là-bas... Je m'esclave dans la ville du bonheur. Ne sais même pas à qui dire merci! L'instant de Planck m'enlève toutes références.
Carpe Diem. Cueille le jour présent. Ti-Coune Horace
Le Vieux Sapin
Monsieur l'abbé Ti-Coune Hector Nadeau
Que de fois au déclin de la vie
Quand je songe aux beaux jours du passé,
Je reviens l'âme toute ravie,
Au nid charmant qui m'a tant bercé.
Je revois la maison paternelle,
Le jardin, le vieux puits, la margelle.
Je revois sur le bord du chemin,
L'arbre géant, le cher vieux sapin.
Refrain
Mon âme alors rayonne
Et tout en moi chantonne.
J'entends le vieux sapin
Qui redit son refrain.
À la brise légère,
Il mêle sa voix fière,
Et son hymne joyeux,
C'est l'écho des aïeux.
Vieux sapin à l'allure si fière.
Tu redis les vertus d'autrefois
Tu connus le fermier, la fermière.
Tu fus témoin de bien doux émois.
Quand jadis sous la fraîche feuille,
Près de toi la nombreuse nichée.
Grandissant comme eu un coin des cieux
Vivant en paix près de l'arbre ombreux.
Vieux sapin dans ma vieille mémoire.
Tu revis comme un arbre enchanté.
Je te vois plein d'orgueil et de gloire,
Près du vieux gîte encore habité.
Bien des soirs sous la verte charmille.
Près de toi réunis en famille,
Nous allions nous reposer un brin,
Et folâtrer sous le vieux sapin.
0 Commentaires:
Post a Comment