vendredi, juin 06, 2008

Quand le lectorat va, tout va.

La mer a mis sa robe verte et le ciel bleu son oeillet blanc
Elle a voulu être coquette pour dire au ciel en s'éveillant

N'oublie pas mon coeur, ni la fleur, ni le jonc
N'oublie pas surtout que demain nous nous marierons

Les pieds dans les sables des dunes, je les ai vus qui s'embrassaient
À l'ombre des joncs, des lagunes et puis la mer qui lui disait

N'oublie pas mon coeur, ni la fleur, ni le jonc
N'oublie pas surtout que demain nous nous marierons

Une fleur à la boutonnière, le lendemain se marièrent
Le ciel aux bras de la mer fière d'avoir du soleil en bouquet

Il y avait leurs coeurs et la fleur et le jonc
Chaque jour depuis mille fois revit cette chanson



Le lectorat de ce blogue augmente à le souligner. Beau monde! L'ego n'en est pas peu fier. Ce lectorat mérite un cadeau « genre ». T'sé veut dire « comme ».

Un cadeau et une trace sur votre disque dur, dur, dur.

Développez « ce KliK ». Votre souris sur la mer... en enfonçant à droite. Au menu suggéré, choisissez une expression contenant « genre » 'papier peint' ou 'fond d'écran' ou 'arrière plan' ou quelque chose de similaire.

2 Commentaires:

Florian Jutras a ?crit...

Bonjour Jacques
Je viens grâce à toi de me payer du bon temps avec Brassens que j'aime bien.
Je suis ton lectorat assidu. Pendant cette retraite commandée par des impératifs que je me suis donnés, parfois je me trouve masochiste, je m'en confesse sans honte, jamais je n'ai manqué à ma tâche de lectorat assidu sur la Mer des Mots. C'était ma bouée, mon élixir, une fonction naturelle qu'on accomplit souvent sans trop y penser mais qui produit son soulagement même inconscient.
Ne lâche donc pas Jacques si tu as toujours le goût de la Mer et si tu éprouves du plaisir à nous la faire boire à petite lampée. Ce que moi j'apprécie le plus comme ton lectorat assidû c'EST JUSTEMENT CE SOURIRE DE VIE QUI TRANSPARÎT SOUS TOUS TES MOTS. Le sel de la mer n'est-ce pas ce qui donne du goût à tous les continents! Ta salière vaste comme ta culture assaisonne tous ces événements qui dans le brouhaha du temps nous sont servis insipides et sans bon sens.

Florian

Quidam duFleuve a ?crit...

Tu te souviendras de Jacques T. T... pour tennisman. Il collectionnait les citation de grands auteurs. Facilement, il aurait vu émule en moi.

Voici un départ...

Je cite. "une fonction naturelle qu'on accomplit souvent sans trop y penser mais qui produit son soulagement même inconscient."

Je n'haïrais pas ça que tu me la traduises en italien!

JdF